• Author: bemol
  • Created: 20 octobre 2025
  • Updated: 5 décembre 2025
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  • Distance 0 m
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    0 km/h
  • Altitude min. 0 m
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  • Décente 0 m
De la frontière française façade méditerranéenne, longer la côte espagnole jusqu'au Portugal puis remonter la côte de ce pays jusqu'à la Corogne puis revenir sur le pays basque en suivant la côte galicienne. Mon ami de voyage sera jean François, un fidèle des voyages à vélo, tout jeune retraité! Départ le 21 octobre, en train pour commencer.
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1. Valence (21-30.10)

Altitude: 0 m
Valence (22-29.10.) Le départ de cette 8e de mes virées de retraité se passe à la Gare de Neuchâtel ou Jean-francois me rejoins pour un voyage uniquement en trains régionaux, les vélos chargés pouvant être facilement entreposés. D'entrée, tout commence bizarrement, une panne sur la ligne du pied du Jura nous oblige à partir direction Fribourg et avec, des décalages de train tout le long du parcours du jour 1. Genève, Aix-les-Bains, Grenoble, Valence, Avignon puis la surprise Marseille, ville non prévue, on arrive vers les 21h, voir anecdote....On profite de la matinée le jour suivant pour nous rendre à vélo...au vieux-port, la Canebière, on fait le tour, très belle vue, la Citadelle en arrière plan, splendide. Dans l'après-midi, on poursuit notre déplacement sur l'Espagne, train rapide, on relie la frontière, arrivée de nuit, imprévus et retards, on s'installe dans un hôtel côté France, le camping attendra. Le jeudi matin 24 novembre , c'est parti avec les choses sérieuses. Pas le temps de se mettre en route que les premières montées de la Costa Brava nous rappellent que cette région côtière est montagneuse, les criques apparaissent lors des descentes en bord de mer puis réapparaissent en haut des montées, superbe ! La forme n'est pas trop mal, la météo, le vent avec nous, on déroule relativement vite en direction de Barcelone. La circulation espacée, les espagnols roulent fair-play, passent large, vitesse réduite par les méandres de la Costa Brava. On essaye de suivre la route Euro 8 qui longe la côte espagnole mais pas toujours facile de la trouver, les indications aléatoires parfois, le chemin coupé à certains endroits. En 2 jours, on se retrouve proche de Barcelone que l’on passera le lendemain. On s'arrête vers la Rambla, l’arc de Triomphe aussi, quelle vie et monde dans cette ville cosmopolite !!! On continue notre "descente" , piste cyclable parfois, route nationale N340 qui traverse l'Espagne Nord-Sud, sorte de route 66 pour les USA ou 40 pour les argentins, pas trop de circulation et bande large pour les vélos. Les espagnols toujours avenants avec nous. Nos corps s'habituent à ce régime de mouvement régulier, notre forme ascendante, les km défilent, on quitte la Catalogne pour entrer dans la province de Valence, ville que l'on atteint une semaine après notre départ après avoir retrouvé la route Eurovelo 8, un billard rouge ou vert, large, multiple cyclistes sur cette piste. On s'installe dans un hôtel, on apprécie pas trop de devoir laisser les vélos à l’extérieur devant la porte de l’hôtel, cadenassé 2 fois, le mien en plus avec l'étrier. Anecdote : - Notre choix de déplacement en train est judicieux; facilité de monter directement dans le train avec les sacoches. Pourtant couac, à Avignon, lors d'un changement, j’oublie mon sac dorsal avec tout le matériel de campement dans le wagon; je contacte un employé sncf qui heureusement très performant et aimable, avertira le personnel du train ! Aussi on reliera Marseille pour retrouver ce sac le lendemain matin!!! Ouf....
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2. Marbela (31.10-9.11)

Altitude: 0 m
Marbella (29.10-9.11) On a été trop naïf, moi le premier après tous ces voyages à vélo. Au retour d'une balade et repas en ville, le vélo de jean François a disparu, évidence, il a été volé, les 2 cadenas au sol sectionnés, le mien par contre intact, l'étrier efficace ! Après cette mauvaise surprise, on décide de le remplacer, annonce à la police, assurance etc....on loue une voiture pour 5 jours, histoire de trouver un magasin de vélo approprié et d'être comme prévu dans les délais à Marbella au triathlon des championnats du monde de triathlon ou le fils de Jean-francois s'est qualifié. Mon ami Antonio - qui a habité 15 années en Suisse comme infirmier et qui a fait dans les années 1985 le tour de l’Amérique du Sud à vélo - domicilié dans la région d'Alicante nous sauve en nous indiquant l'adresse d'un magasin spécialisé de vélo gravel ou voyage dans la ville d'Eiche; petite tienda de cycles mais grand choix. Un vélo de voyage marque BROTHER fera l’affaire, monté selon les envies du client donc Jean-francois....Manolo le propriétaire le préparera parfaitement malgré le week-end férié de la Toussaint. Les vélos démontés dans le coffre de la voiture, on poursuit notre périple jusqu'à destination soit Malaga ou le véhicule de location sera remis. On suit les côtes de la Costa Dorada et del Sol, passons dans des camping parfois à fuir, que des retraités majoritairement allemands, hollandais, suédois ...bus camping (nos tentes les seules), ambiance stérile, tout aligné, règlement militaire, les chiens en surnombre en plus. Ouf, on trouvera grâce à l'aide Overlander des camping pour espagnols, tout autre chose, ambiance, convivialité top ! On visite le très beau site de Randa proche de Malaga, faille géologique intéressante, la ville coupée en 2 par un canyon profond de 200m. Architecture romane et influence arabe lors de l’invasion de l’Espagne par les arabes dans les années 700, leur présence et influence sur une belle architecture puis territoire reconquis par les chrétiens, rois d’Espagne au 13e-14e siècle. On ramène la voiture à Malaga, on remonte nos vélos puis le départ no 2 est donné. On ligne sur Marbella, on peine a trouver notre route, les infrastructures pour les vélos terminées, on accède péniblement à cette ville, bienvenue à la St Tropez espagnole....interrogation, tt béton, la côte saccagée par des constructions en surnombre, bof. On y restera 3 jours pour suivre le triathlon des championnats du monde, on s'invite chez Bastien et son amie Meghan ainsi qu'Olivier son papa. Ambiance sportive, du monde, 5500 triatlètes vont se confrontés au 75.3 miles de ces 3 disciplines fondamentales, dès le plus jeune âge, la natation, le vélo, la course. Nous, le fan’s club. Bastien sera à la hauteur de l’événement, 4h26, 3e meilleur Suisse, 127e sur 3330 concurrents. Bravo ! Ambiance sympa. Heureuse nouvelle : le 3 novembre naît ARLOW, 50 cm pour 3kg590. Bravo à Celia la maman, à Florent le papa et ces 2 sœurs Thalya et Calie qui l'attendent de pied ferme. 3 petits enfants : la classe. Qu'il vive....
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3. Faro (10-18.11)

Altitude: 0 m
Faro (10-18.11) images, patience, wf compliqué avec codes... Après les adieux au team triathlon, bastien pas trop cassé je crois, on quitte la haute de Marbella...Nous suivons le plus possible la mer mais on se rend compte de la difficulté des voies à suivre, signalisation manquante, passage sur des routes fréquentées, détours; heureusement les espagnols conduisent très fair-play et passent toujours large. Mise à part l’Euro 8 vélo qui ne suit pas toujours une trajectoire directe le long de la côte, entre les villes, sur les routes nationales, une bande large nous sécurise mais l’Andalousie ne semble pas très concernée par le vélo. O.n décide de quitter le littoral pour traverser l’Andalousie et gagner Cadiz. Enfin de la tranquillité, une voiture heure....parfait. Des côtes succèdent aux côtes, un peu de Corse dans ce paysage, les km défilent, notre condition physique devient plus affûtée. On retrouve la route Euro vélo 8,, puis on accède à la plaine reliant Cadiz, la circulation plus intense. On se perd dans le passage d’entrée de cette ville, panneaux indicateurs pour les vélos inexistants, seul le gps nous sauve ! Dans l’impossibilité de franchir les 2 ponts d’accès, on décide de prendre un bus local....Ouf, on se retrouve dans cette belle ville historique, la visitons quelque peu, les remparts superbes, situation géographique aussi, historique puisque Christophe Collomb est parti de là dans ses explorations lointaines. Le traversier reliant le Nord de la côte (estuaire de 10 km de large) étant à l’arrêt, temps trop agité, un bus de remplacement nous y amène, campement un peu plus loin puis pour traverser l’immense delta du Guanaquil, nous optons la remontée par Séville, notre intention de suivre la côte et longer un parc national étant déconseillée, - longue portion de chemins par marrée basse dans le sable - dommage ! Nous aurons une journée de galère tout de même car les chemins de traverse pour atteindre Séville seront compliqués à suivre même avec le gps, la tempête Claudia a passé par là ! On s’arrêtera presque de nuit, hostel, le propriétaire nous fait un malaise en voyant notre état digne d'un après cyclo-cross mais surtout celui des vélos que l’on devrait ranger dans son hôtel ! Un Karcher fera l’affaire...Le jour suivant sera identique, pluie, vent, on optera pour une partie du trajet en train puis nous accédons à la ville frontière de Ayamonte, totalement détrempé avec un vent de malade et une crevaison du vélo de jfr, réparée sous une pluie battante ! Le Portugal est visible l’autre côté de la rive, ouf, un hôtel nous requinquera. Le lendemain, après avoir traversé en ferry le fleuve de séparation des 2 pays, on entre au Portugal et on relie Faro, météo clémente mais vent de face usant. Anecdotes : - Notre décision de remonter sur Séville était apparemment le bon choix mais la pluie a rendu certains passages compliqués, choix de pistes, retour sur nos traces, embourbement, roues bloquées, comme du mortier entre les roues, garde-boues et je ne parle pas de notre état, surtout les jambes ! On arrivera presque de nuit dans une petite ville proche de Séville. - Les espagnols ont construits des centrales de panneaux solaire, on en aperçoit souvent, des hectares dans des champs, panneaux pivotants selon position du soleil. Des centaines d’éoliennes, des champs complètent cette source d’énergie propre. et du futur. Chez nous, des lumières aimeraient relancer le nucléaire...alors qu'il faut 25 à 30 années pour finaliser la construction sans parler des déchets que personne ne veut en Suisse. Les politiciens n’aiment ́pas trop écouter les scientifiques chez nous ! - Proche de Cadiz, marque conséquente, mon vélo Koga dit Colson m’a transporté la distance du globe terrestre dans mes voyages, découverte de pays, de régions du monde extraordinaire, compagnon ́parfait, solide, fiable, longévité sans jamais râler et qui a dû supporter parfois mes contrariétés sur les chemins parcourus..
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4. Aveyro (19-25.11)

Altitude: 0 m
Aveiro (19-25.11) Les villes portugaises ont du charme, Faro également. Port sympa, bâtiments pour la plupart blanc, trottoirs, ruelles en petits pavés finement posés; au Portugal, le poseur de pavés est un métier d’avenir. On commence la "remontée du pays" en suivant la côte, la route Euro vélo 1 notre fil rouge. Des passages pittoresques alternent avec des portions un peu monotone, fléchage pas toujours très bien marqué mais mieux que la côte espagnole; on se trompe plusieurs fois, sans gps, difficile. Parfois, on ligne sur une route nationale, histoire de raccourcir l’étape du jour, le tracé de l’Euro vélo augmente sur certaines parcours les kilomètres d’un quart sur 100 km. On constate que les portugais apprécient leurs bagnoles, la conduite nerveuse, peu d’égard envers les autres usagers de la route, excès de vitesse, priorité à revoir, la distance d’1m50 est étrangère pour eux, je vais refaire mon classement des bons et plus mauvais conducteurs de la planète. On passe des cités balnéaires, Lagos, Vila Nova de Milfontes, Sinès. Cette remontée n’est pas si facile, on subit un vent de face qui entame le mental mais on gère bien maintenant l’effort, forme montante, poids descendant...rires Un traversier nous transporte à Setubal proche de Lisbonne. Circulation intense - la Namibie est bien loin- on prend des routes secondaires, mieux ! On rejoint le même jour Lisbonne, un autre traversier nous y amène, la traversée de la baie pour arriver dans la capitale lituanienne, sympa ! On se pose pour 2 jours, récupération, lessive, visite de la ville, superbe, une des plus belles cités d’Europe. Le tram 29 emblématique nous amène dans et autour de la vieille ville, arrêt aux sites emblématiques de la capitale, on admire la vue depuis le château dominant la baie, la ville à nos pieds. Architecture audacieuse, bâtiments d’époque, mélange de gothique, romane avec influence arabe; on ne connaît pas assez l’histoire de ce pays, il faudra que je m’instruise. On profite aussi de déguster du poisson de l’atlantique, on se repose puis on reprend notre chemin nord-ouest et une fois sorti de la ville de Lisbonne, on traverse des endroits plus isolés, enfin ! En 2 jours, on est à Nazaré, spot mondial du surf mais hélas, les grandes vagues absentes au rendez-vous; pas important, l’endroit est superbe mis à part la flopée de touristes. Visite du site, la plus haute vague enregistrée ici est de 30 m, on verra le 10e ! Notre remontée géographique se poursuit, côte isolée, très peu de véhicules, vent favorable pour une fois, seule la pluie douche le plaisir. Fin d'étape compliquée, traversier à l’arrêt, passage obligatoire sur un pont routier, vent latéral très fort, heureusement un trottoir nous protégera, les conducteurs portugais peu d’égard avec les cyclistes. On atteint une ville en début d'après-midi, Figueira de Foz, 130 km Sud de Porto. Anecdotes : - Comme à chaque voyage, je vais faire le classement des meilleurs et plus mauvais conducteurs des pays traversés lors de mes voyages, l’Espagne et le Portugal rentrant dans ce classement : Les meilleurs : 1. USA (même s’ils ont un Président d....e. 2. Norvège. 3. Canada. 4. Suède. 5. Espagne Les pires : 1. Pérou. 2. Afrique du Sud. 3. Argentine. 4. Portugal. 5. France - Dans une agglomération, en montée, bord de route caillouteux, des voitures me dépassent, vitesse réduite, une passe à côté et tente de me pousser sur le bas-côté ! Un conducteur débile dans une porsche...mon pied a failli finir dans la portière mais maurice a dit non...rires....le F... lui a été envoyé ...
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5. Burgos (25.11-2.12]

Altitude: 0 m
Burgos (24.11-2.12’) On longe le bord de l’océan pour relier Porto, des espaces isolés en début d’étape, de plus en plus de monde à l’approche de cette ville. Au bout d’une ligne droite, on tombe sur une famille de randonneurs à vélo des alpes maritimes parti depuis la Norvège il y a 7 mois, un couple et leurs 2 enfants; rencontre sympathique, partage, discussion, photos souvenirs. Bonne suite à Stéphane, Hélène, Auguste et Nora. Au détour d’un long virage côtier, on atteint l’estuaire d’accès à la 2e ville du Portugal, le Douro se jette dans l'océan là et a façonné la géologie de la cité, Très belle vue, arrivée on ne pouvait mieux ! De multiples ponts, hauteur, style tous différents mais 2 sortes du lot : les ponts métalliques, construction extraordinaire, mythique!!! La ville séparée en 2 par le Douro apporte à cette ville classée au patrimoine de l’Unesco une touche particulière. On apprécie ces instants mais atteindre notre gîte proche du centre ville est loin d’être facile, quelques montées appuyées clôturent notre journée. On y reste 2 jours, gite kitch, visite des incontournables, tour de ville, tram no 29 nous fait découvrir cette cité magnifique, maisons colorées, batiments anciens, places spacieuses, pavées; on déguste un des plats mythique des portugais, le baccalao, délice. On tente de récupérer quelque peu mais difficile avec ces km à pied ! On décide de continuer notre parcours par l’intérieur de l’Espagne, la Galice étant bien arrosée. Les routes portugaises étant trop encombrées et un peu marre du niveau de leur conduite....surtout la vitesse, on relie en matinée une ville proche de la frontière nord, 150 km en bus. Dans l’après midi, on accède à l’Espagne, route désertique, on apprécie mais nouvelle donne : le froid s’invite dans nos déplacements surtout tôt le matin mais on s’équipe et on s'adapte vite. On est en Asturie, paysage trés beau, couleurs automnales, parcours en yoyo, collines, dépressions, on passe allègrement ces obstacles, les villages plus rares, ́des églises superbes, on est tout proche du chemin de Compostelle. Les conditions pluvieuses du bord de l’océan nous incitent à suivre le chemin de Compostelle à l’envers, on devient des pèlerins cyclistes soit des "Pelgrins" ou pingouins tout dépend (rires)...On croise de nombreux pèlerins le long du chemin malgré l’arrivée de l’hiver, le froid, les conditions difficiles. Mais ambiance sympa surtout aux étapes dans les auberges le long du parcours. On fait la connaissance de belge, d’Italienne (Stephanie et Simona), de suédoise, de chinois, canadien, corée, américain. ..beaucoup d’asiatiques sur ce périple légendaire. On remonte l’Espagne, trés peu de voitures, parfait; parcours parfois isolés surtout vers l’arrivée sur Burgos, on pourrait se croire en Amérique du Sud... Anecdotes : - A l’hébergement des pèlerins de Burgos, 7h00 réveil en musique avec un air de Rossini, le check out obligatoire pour tout le monde à 8h. On se croit à un camp de ski ! - Avant Burgos, je vois Jean-francois dépasser péniblement un coureur à pied; je fais pareil et en arrivant à sa hauteur, je constate son rythme à environ 19 kmh qu’il tiendra jusqu'à Porto ! Je le félicite pour son rythme, grand sourire. Un brésilien, il m'apprend qu’il est en préparation du marathon de Valence. Commentaires: - Burgos est situé sur un plateau surélevé; tout au long de l’étape pour accéder à cette ville, des éoliennes partout. A proximité de notre chemin, un groupe de ces appareils sur une surface de 3 km2 env, je les compte, 35, soit le nombre total des éoliennes en Suisse ! On a encore beaucoup de travail pour cette énergie non polluante, d’appoint du solaire l’hiver, facilement construite. Et pour les extrémistes du paysage, on a bien des pylônes électriques partout ! Sinon, il faut accepter de creuser des trous chez nous pour entreposer les déchets nucléaire ou plus simple vivre en consommant moins !

6 réactions sur “ Tour de la Péninsule ibérique ”

  1. Francois Falik Réponse

    C’est tout de même étrange que toi Bémol, tu puisses oublier un sac dans un train. Vraiment inhabituelle 🙂

    • bemol Auteur ArticleRéponse

      Salut François, François, tu es très pointu dans tes constatations qui sont à peu près exacts…promis au retour, je vais me concentrer…hasta luego, amigo

  2. Claude Réponse

    Oh là, pluie, boue, crevaison … il y a des jours comme cela ! Heureusement, ce n’est pas la majorité; cela fait des souvenirs.
    Félicitations les bikers et bonne continuation. Tenha uma boa viagem !

  3. Pierre. Réponse

    Super Maurice pour tout ces récits. Que le voyage se poursuive au mieux pour vous et quel périple. Ici tout va bien, ton logement n a pas bouge de place :-).

    Au plaisir Pierre

    • bemol Auteur ArticleRéponse

      Salut Pierre…merci pour nouvelles fraîches de nods….Lisbonne, suite Porto puis la côte nord jusqu’à Bilbao et le retour. A bientôt

  4. Lauener René Réponse

    Salut Bemol,
    félicitations au grand-père!
    Un p’tit Bemol, il pourra faire du vélo avec son grand-papa (ou du hockey avec son papa).
    Je suis aussi devenu grand-père aujourd’hui 14 novembre pour la 5ème fois, mais le 1er Lauener , Darenn (de Seb).
    A bientôt au HCC et bonne continuation pour ton périple autour de la péninsule ibérique (tu verras, le Portugal est trop beau et les portugais trop sympa!)
    Ciao
    René

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